On passe à table

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il y a 4 ans

Une histoire érotique de soumission féminine qui peut vous donner une idée de soirée coquine.

11 h 45, elle allait bientôt arriver. Tout était prêt. Un petit repas sympathique, une bonne bouteille. Un peu de musique enclenchée. Il avait le trac.

Depuis des semaines, ils échangeaient au quotidien des messages de plus en plus chauds, de plus en plus crus. Il avait découvert avec elle un univers qu’il ignorait. Celui de la soumission. Pour la première fois, à travers ses mots, elle lui demandait qu’il lui impose sa volonté, qu’il fasse d’elle sa chose. Dans quelques minutes elle allait entrer dans cette pièce.

Passer du virtuel au réel ! Allait-il être capable de rentrer dans son jeu ? Et elle ?

Était-elle dans un simple fantasme ou était-elle désireuse de vivre ce qu’ils avaient si souvent joué depuis des semaines ?

12 h 05… Une voiture ralentit, se gare. Il respire un grand coup. Ouvre sa porte et sort à sa rencontre. Il l’aperçoit. Elle ne l’a pas encore vu. Elle ferme sa voiture. Leurs regards se croisent… Un sourire dense. Un sourire qui le rassure. Elle est heureuse d’être là et comme lui il y a en elle une lueur d’inquiétude.

Ils sont encore dehors et elle approche de lui. Sous son long manteau, elle porte une jupe assez longue fermée par des boutons. Un chemisier blanc et assez… ou pas assez sage. Il laisse deviner par dessous un soutien-gorge qui porte ses seins lourds. Elle est devant lui. Il lui tend les bras et spontanément elle vient se serrer contre lui. Une accolade naturelle et il lui caresse les cheveux dans un geste presque e n f a n t in. Rien de calculé dans tout cela. Une façon de se signifier qu’ils sont heureux de partager ce moment, qu’ils sont en confiance.

Ils pénètrent dans la maison, il la fait passer devant. Elle rentre à peine, comme figée sur le seuil… Il la débarrasse de son manteau et lui dépose un baiser dans le cou.

Geste encore timide, mais elle frémit et penche sa tête un peu plus pour un autre baiser…

— Tu veux boire un verre ?

Ils entament un apéritif en se regardant. Même si leur conversation est fluide et légère leurs regards et leurs gestes trahissent leur trouble…

— On passe à table ?

Elle s’installe et il reste debout quelques instants. Il sait qu’il doit prendre l’initiative.

— Relève-toi !

C’est la première fois qu’il donne un ordre à une femme sur ce ton. Elle le regarde pendant une seconde qui lui semble interminable… Leurs regards se croisent et elle ébauche un sourire en se relevant.

— Ce n’est pas un repas comme un autre ! Tu vas avoir un ordre à chaque plat.

Elle va pour ouvrir la bouche. Il ne lui laisse pas le temps :

— Tu dois obéir ! Sinon…

Elle baisse les yeux pour marquer son acceptation.

— Soulève ta jupe !

Elle relève lentement son vêtement pour révéler une culotte noire.

— Mauvais début ! Tu devais venir sans rien sous ta jupe.

— Pardon, mais…

— Tais-toi ! Comme c’est comme cela… Enlève la culotte et la jupe ! Tu vas déjeuner cul nu. Tu discutes ?

Sans répondre, elle ouvre les boutons de sa jupe et se débarrasse de ses deux vêtements.

— Approche-toi.

Elle vient devant lui et sans la quitter des yeux il f o r c e ses cuisses à s’ouvrir pour planter deux doigts dans sa chatte. Il sourit ! Retire ses doigts et les regarde. Elle est déjà bien excitée. Il suce ses deux doigts en la regardant.

— Retourne t’asseoir ! On va manger !

Obéissante, elle reprend place sur sa chaise et il va chercher l’entrée. Et avec le plus grand naturel, la conversation reprend comme si tout était normal ! Elle, les fesses nues sur sa chaise, parle de la vie et de son travail. L’entrée terminée, il débarrasse les assiettes. Avant de servir la suite, il revient debout devant elle :

— Tu sais, j’ai fait un peu de shopping pour aujourd’hui.

Il attr a p e , au milieu d’autres, un paquet posé sur un meuble.

— Ouvre-le, dit-il en le lui remettant. Les mains légèrement tremblantes, elle arrache le papier et se retrouve avec un gode dans les mains.

— Voilà ton nouvel ami ! Lève-toi !

Elle murmure en se levant :

— Pas maintenant !

Sa main s’abat sur ses fesses !

— Tu sais que tu dois obéir ! Penche-toi un peu en avant !

Appuyée sur la table, elle lui présente son postérieur. Il passe derrière elle et présente l’objet à l’entrée de son sexe…

— Écarte-toi bien… Te voilà raisonnable ! Regarde, il rentre tout seul ! Tu peux te rasseoir ! Je vais chercher le prochain plat.

Ils entament la viande et les légumes, reprennent une conversation anodine. Elle est un peu moins concentrée et ferme les yeux de temps en temps pour mieux apprécier son doux visiteur ! Elle termine comme elle peut son plat. Il change les assiettes tandis qu’elle reste sur sa chaise. Il revient à table :

— Garde ton chemisier, mais enlève ton soutien-gorge

Un petit « non » s’échappe de ses lèvres.

— Pardon ? Voudrais-tu goûter de cela ?

Il sort de sous la table une cravache qu’elle n’avait pas vue.

— Dépêche-toi ou je te fais tout enlever tout de suite.

En se contorsionnant, elle défait le vêtement.

— Donne-le-moi !

Elle garde les mains en travers de sa poitrine… Du bout de sa cravache, il écarte ses mains. Elle s’en défend, mais ses larges aréoles tendent le tissu.

— Mange du fromage !

— Je n’ai plus faim.

Avec le bout de la cravache, il lui soulève le visage.

— C’est un ordre ! Mange !

Elle s’exécute et croque à belles dents le morceau qu’il a coupé. Il recommence à lui parler normalement. Situation totalement surréaliste… Elle, fesses nues avec un gode enfoncé dans le sexe, les seins nus et visibles sous son chemisier blanc. Tout en lui parlant, il dirige le bout de sa cravache dans son décolleté.

— Ouvre un bouton de plus !

Elle s’exécute.

— Un autre !

Son chemisier est maintenant largement ouvert…

— Ne bouge pas ! Je vais débarrasser pour le dessert.

Il apporte une corbeille de fruits, une crème anglaise.

— Lève-toi et viens vers moi.

Elle s’exécute. Totalement impudique. Le chemisier ouvert et son sexe transpercé par le gode.

— C’est bien, tu as été obéissante ! Allonge-toi sur mes genoux… Je vais te préparer ton dessert !

Elle hésite, mais il l’attr a p e par le poignet et la couche en travers de ses genoux.

— Vérifions si tout va bien !

Il empoigne le gode et le fait aller et venir en elle… Elle ne peut résister, et laisse échapper des soupirs. Il retire le gode, le porte à sa bouche.

— Voilà un jus qui est excellent ! Tu veux goûter ?

Il replonge l’objet entre ses cuisses, l’enfonce profondément en lui arrachant des soupirs de plaisir. Il le retire :

— Goûte !

Elle se met à sucer l’objet avec application.

— C’est bien. Tu veux un fruit ?

Il épluche une orange et laisse couler du jus sur son dos. Détachant un quartier il lui plonge dans le sexe avant de le déguster.

— Tout cela est à point… À toi !

Renouvelant la même opération il lui offre un quartier d’orange auparavant bien trempé de son jus. Un morceau de pomme, un carré de poire, d’autres morceaux d’orange suivent le même chemin.

— Je vais te servir de la crème anglaise

— Merci, je n’ai plus faim !

À peine a-t-elle terminé sa phrase que sa main vient faire rougir ses fesses.

— Ce n’est pas une option. Lève-toi !

Il remplit une coupe de crème et la pose par terre.

— Va laper à quatre pattes !

Elle le regarde incrédule et constate qu’il ne plaisante pas et avec sa cravache lui fait comprendre qu’elle doit s’exécuter.

— Enlève complètement ton chemisier ! Tu vas le salir !

— Non, s’il te plaît !

Un coup de cravache sec sur ses fesses la fait obéir.

— Voilà ! Maintenant, lape la crème ! Oui, comme cela ! Tourne ton cul vers moi. C’est bien. Tes seins ballottent ! Tu es très chienne comme cela !

Elle frémit sous ces mots.

— J’aime ton cul qui s’ouvre pour moi.

Elle se sait impudique et très offerte. Elle ressent en elle un plaisir trouble. Elle sait que son sexe est trempé et que ses seins sont durs.

— Continue de laper.

Il prend de la crème sur ses doigts et les pose sur son cul. Elle est tellement excitée qu’il n’a aucun mal à enfoncer deux doigts en elle. Elle lève la tête de surprise.

— Continue de boire !

Il continue de la doigter sans ménagement. Il sait, aux soupirs qu’il entend, qu’il lui donne du plaisir. Bientôt c’est sa langue qui vient remplacer ses doigts et il se régale de son cul offert tandis que ses doigts partent à la conquête de son sexe. Totalement ouvert sous ses yeux, il se régale de ce spectacle.

— Ne bouge pas…

D’un seul coup c’est le noir. Il lui passe un bandeau sur les yeux et il voit sa peau frissonner.

— Ne bouge pas.

Elle entend qu’il installe quelque chose. Il lui prend les poignets et elle réalise en un instant qu’il vient de le menotter. Elle ne sait si elle ressent de la peur ou du plaisir.

Avec douceur, il la fait allonger par terre. Il a installé une couverture pour son confort.

Elle est nue. Allongée sur le sol, les yeux bandés et les mains liées, elle n’a d’autre choix que de lui faire confiance. Il attr a p e ses chevilles et ouvre ses jambes. En quelques instants, elle réalise qu’il vient de lui attacher les chevilles de telle sorte qu’elle est écartelée et ouverte au milieu de la pièce.

Il se relève et la regarde en silence. Il se régale de la voir ainsi et fait durer le plaisir.

Il change le disque, se déshabille sans lui dire. Elle est fébrile, voudrait savoir ce qu’il fait !

— Tu es là ? Viens !

— Chut !

Elle sent la cravache parcourir son corps sans v i o l ence, mais l’idée de cet objet sur sa peau lui procure des frissons partout. Et puis, un liquide commence à couler sur ses seins. Elle reconnaît l’odeur de la crème anglaise. Quelques instants plus tard, c’est sa langue qui vient lécher ses tétons. La crème coule et sa langue vient la récupérer. Ses tétons sont emprisonnés dans sa bouche. On dirait celle d’un e n f a n t affamé. Elle tente d’y échapper, mais ses efforts sont vains. Il peut se régaler de ses seins sans contrainte.

Il masse ses seins avec la crème. Elle est dépendante de ses mains, femme-objet. Le liquide glisse sur son ventre et bientôt coule entre ses cuisses. La langue vient ouvrir son sexe, récupérer le breuvage. Son clito est l’objet de toute l’attention de cette langue. La langue s’enfonce, ressort, tourne dans son ventre. Bientôt ce sont ses doigts qui la prennent, qui jouent avec son ventre.

Elle ne peut s’empêcher de gémir. Elle voudrait se retenir, mais elle sait qu’elle va jouir. La bouche et les doigts se font plus rapides, plus forts. Elle est écartelée et elle ne sait plus combien de doigts sont en elle. Son souffle s’accélère. Elle voudrait toucher cette tête qui la suce, participer avec ses mains et ses jambes, mais elle est prisonnière de ses caresses.

Elle se cabre ! Elle jouit ! Crie ! Elle s’en veut de ne pas avoir résisté plus longtemps.

Il continue de la caresser et des vagues de plaisir continuent à parcourir son corps.

Il vient l’embrasser. Sa bouche a le goût de son plaisir et de la crème. Elle murmure :

— Détache-moi…

— Plus tard… sois patiente.

Elle l’entend se relever. Il passe son pied sur son corps, sur ses seins, sur son ventre, entre ses cuisses. D’un seul coup une sensation de fraîcheur. Il lui passe sur le corps un gant d’eau fraîche. Elle frissonne, mais apprécie.

— Tu vas devoir être très gentille.

Dans un murmure :

— Oui

Elle se demande ce qu’il lui réserve. Elle n’a plus peur. Son corps est électrique et elle vient de jouir. Il revient vers elle. Elle devine son corps très proche d’elle sans savoir vraiment ce qu’il fait. Elle ne le sait pas encore, mais il vient à genoux au-dessus de son visage :

— Tire la langue ! Tu vas me manger les couilles !

Elle frissonne de ces mots crus, du contact de cette peau inconnue avec sa langue.

Elle voudrait pouvoir attr a p e r ce sexe, mais il reste juste là, entravée comme elle est, elle ne peut toucher sa queue. Il bouge sur sa bouche et se laisse descendre sur sa bouche gourmande. Elle gobe ses testicules et tire sur sa peau. Il soupire et avance. Elle se retrouve avec sa raie sur sa langue.

— Lèche-moi.

Elle se met à parcourir, les yeux bandés, l’intimité de ce corps. Lui soupire et joue avec ses seins. Avec un peu de b r u t a l i t é , il pince ses tétons. Ils sont tous les deux excités.

Il change de position et elle réalise très vite que c’est son sexe qui maintenant se pose sur ses lèvres. Elle n’a pas besoin d’un ordre pour ouvrir la bouche. Sans ménagement, il s’enfonce dans cette bouche. Surprise, elle suffoque ! Leur excitation est totale. Elle s’applique à sucer cette queue qui baise sa bouche et avec sa bouche, elle devine son excitation.

— Je vais te prendre.

Il se retire, détache ses jambes, les relève autour de ses épaules et s’enfonce en elle !

Les jambes relevées, il se penche sur elle, la prend avec f o r c e . L’excitation est grande. Ils soupirent tous les deux. Il explose en elle ! Il s’effondre dans ses bras et l’embrasse très tendrement. Il défait le foulard qui cachait ses yeux.

— On va prendre une douche ? Je te détache… Mais je n’en ai pas terminé avec toi.

Avec un petit sourire complice :

— Oui, maître.

Il lui tend la main pour lui faire découvrir sa salle de bains… et un autre terrain de jeux.

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